lundi 25 mai 2009

332 – Trehundratrettiotvå

Jadis, on savait vivre. Prenons le château d'Oliferne dont on peut toujours visiter les ruines à 807 mètres d'altitude. Eh bien, on raconte qu'on y enfermait des jeunes filles dans des tonneaux tapissés de clous qu'on jetait dans l'Ain. C'est sûr, on savait s'amuser. Ce qu'on ne dit pas, c'est que cette pratique a cessé à la demande des fakirs qui voyaient d'un sale oeil cette concurrence féminine.