lundi 7 septembre 2009

561 – Ötszázhuszonegy

Imprimeur, relieur, directeur artistique et éditeur eurent beau se liguer pour convaincre l'auteur d'accepter leur maquette recto verso, fort de son droit moral, celui-ci maintint son exigence de présenter au lecteur ses 807 aphorismes en 807 pages consécutives, ni plus ni moins.
L'industrie papetière redoute désormais une omineuse prise de contact avec Publie.net.